mardi 8 novembre 2011

Merci Les sauveteurs en Mer de Saint-Mandrier(83)


Pour les sauveteurs, chaque alerte est un compte à rebours. Encore plus quand il s'agit d'un kayakiste, qui se signale en difficulté peu avant 19 h. Il fallait le retrouver avant la tombée de la nuit.

L'homme a prévenu les secours avec son portable, en faisant le 18. Il se situait « entre un et deux kilomètres de la côte, selon ses propres estimations », relate l'officier de permanence au Cross-Med, la vigie qui coordonne les opérations de secours en mer.

La vedette SNSM de Saint-Mandrier, commandée par Jean-Louis Kléparsky, a retrouvé le kayak en moins d'un quart d'heure. À ce moment, le vent soufflait encore à 50 km/h, avec des creux d'environ un mètre.

L'homme ne portait pas de gilet de sauvetage et n'était pas muni de moyens lumineux pour se signaler.

« C'est une marque d'imprudence », soulignent les sauveteurs.

        Il a expliqué qu'il avait l'habitude de partir en mer, mais que le vent d'ouest l'avait fait dériver vers l'est. Impossible de revenir « à la force des bras ».
« En moins d'une heure, le kayakiste a parcouru une distance de plus de 6 km », pointe Jean-Louis Kléparsky. L'homme a été récupéré à 1,8 km de la côte, au sud du cap Sicié, selon les relevés du sauveteur.

Le conseil minimal de prudence est d'écouter la météo et de partir avec de quoi se rendre visible, comme une fusée de détresse, ou un feu à main. En pleine mer, un kayak ressemble à un tout petit point.
Source Var Matin

samedi 8 octobre 2011

Parc des Calanques

La charte du parc des Calanques ne semble pas convaincre l'Autorité environnementale




La charte du parc des Calanques ne semble pas 
convaincre l'Autorité environnementale 

L'avis de l'Autorité environnementale sur le projet de charte du parc national des Calanques s'interroge à mots couverts sur la pertinence de certains choix et recommande que les arbitrages soient présentés et expliqués, notamment au regard du droit de l'environnement.
 Article completAuteur:Philippe Collet  
Plus d'info sur le Parc National des Calanques

mercredi 28 septembre 2011

Les Salons de l’écoconstruction


                                A  la fin du mois de septembre, la 8ème édition du Salon Bâtir Écologique  ouvrira ces portes au public à la Grande Halle de la Villette à Paris.
      Il y a 7 ans, ce salon était pionnier au niveau de la construction  écologique et de matériaux sain en France.
Aujourd’hui, il évolue parmi une flopée de salons du développement  durable qui poussent comme des champignons. Quelles sont les différences  entre ces rendez-vous de la «construction écologiques » ? Doit-on  apprécier cette évolution ou plutôt la craindre ? Comment arrive-t-on à  savoir, si un produit, une conception, une façon de construire est plus  écologique qu’un autre ?
L'association Bâtir Sain propose d'en discuter autour d'un verre lors  du prochain Café Bio Construction le mardi 27 septembre à partir de  20h00 au Café les 3 Arts, 21 rue des Rigoles, à l’angle de la rue du  Guignier, Paris 20ème, Métro 11 Jourdain.


Lire l'article complet :  http://www.ecologie-pratique.
org/article.php/les-salons-de-l-ecoconstruction-mode
Auteur: Pascal B.
Date: 22 sep 2011 - 22:47

dimanche 11 septembre 2011

Fukushima, six mois de mensonges et de désinformation

11 septembre 2011 - 6 mois de Fukushima

Fukushima, six mois de mensonges et de désinformation


Ce 11 septembre 2011, six mois se seront écoulés depuis le début de la catastrophe nucléaire de Fukushima. Six mois que Tepco, l’ensemble du lobby nucléaire, le gouvernement japonais, mentent et désinforment les citoyens du Japon et du reste de la planète. Six mois déjà, à lutter contre l’opacité, à tenter de démêler les fils de la vérité, concernant la situation des réacteurs, la contamination de l’environnement, des habitants et des aliments. A la veille du 11 septembre 2011, nous sommes toujours confrontés à un mur de censure.. Les grandes catastrophes nucléaires de l’histoire, de Mayak à Fukushima en passant par Tchernobyl, se suivent… la désinformation reste entière, et nous, citoyens du Japon et d’ailleurs, sommes les premières victimes. Ce silence doit cesser..
Le Réseau “Sortir du nucléaire“ souhaite ici fournir un aperçu – sans prétendre être exhaustif – de la situation des populations dans la préfecture de Fukushima à ce jour. Ce dossier met en valeurs certains aspects scandaleux de la gestion de la catastrophe par les autorités japonaises qui sont passés inaperçus dans les médias en France. Alors que l’accident n’en est qu’à son commencement, le Japon en a-t-il tiré les leçons ?

Plus d'infos...
Voir le court métrage d’anticipation dans un Tokyo post-nucléaire réalisé par Yukihiro Shoda.

La France joue t'elle la transparence? La centrale de Paluel

lundi 8 août 2011

Que faire pour réduire son impact sur planète?

Notre comportement de consommateur moderne agit beaucoup sur notre environnement...
Laver un Jeans en machine, nous le faisons tous, banal et pourtant!!

En manœuvrant les différents curseurs, les résultat sont étonnant...
Quel impact sur l'environnement avez-vous? Faite le test!

L'éco profil d'un Jeans...
Le Jeans délavé est à la mode en ce moment, à l'heure du bilan carbone, il y a de quoi se poser des questions...
Dan

PS:L'histoire du Blue Jeans

Des gaz à effet de serre dans mon assiette(GES) ?

Vous ne regardez plus votre assiette comme avant!

Le Réseau Action Climat - France publie l’édition 2010 de sa brochure "Des gaz à effet de serre dans mon assiette" qui décrypte les différents impacts de l’alimentation sur l’effet de serre, et contribue aux changements climatiques.
Gaz à Effet de Serre et alimentation

Plus de la moitié des émissions de gaz à effet de serre en France sont émises par les ménages, dont une part non négligeable est imputable à l’alimentation. En effet, tout au long du processus de fabrication d’un aliment, chaque étape émet des gaz à effet de serre (culture ou élevage, production des engrais, transformation, emballage, conservation et transports).

Selon le mode de culture des produits agricoles, l’origine géographique des produits et la quantité d’emballages, l’impact sur les émissions de gaz à effet de serre des produits est très différent.
Ce document a pour objectif de sensibiliser le consommateur que nous sommes et permettre une mise en place de pratiques d’achat et de comportements respectueuses de notre santé et du climat.
Lisez la suite ICI

samedi 6 août 2011

Les militants écologistes font peur au gouvernemant et à AREVA

Parole de militant

Moi, Xavier F., écologiste et citoyen ordinaire

Je m’appelle Xavier, j’ai 38 ans. Je vis en couple sans enfants, dans le nord des Yvelines, en banlieue parisienne. Je suis originaire du Sud-Ouest. J’ai longtemps travaillé dans l’industrie agroalimentaire ; je m’occupais de la gestion de la qualité. En 2005, j’ai souhaité gérer un point de vente parisien de l’entreprise dans laquelle je travaillais. En 2009, je me suis lassé, et j’ai décidé de me réorienter professionnellement. Après un bilan de compétences, j’ai réalisé une formation dans le domaine des énergies solaires, et obtenu un certificat de formation professionnelle. J’ai décroché un CDI dans l’entreprise qui m’avait accueilli pour mon stage. À cette époque, mon entreprise avait de nombreux chantiers en perspective. Les choses se sont cependant rapidement dégradées puisque, seulement neuf mois plus tard, mon patron n’arrivait plus à assurer correctement le versement des salaires : en effet, dans l’intervalle les conditions d’aide au secteur photovoltaïque avaient changé plusieurs fois, et un moratoire avait été décrété. Du coup, il y a un mois en juin 2011, j’ai du convenir avec mon entreprise d’une rupture conventionnelle de contrat.

« Malgré les difficultés du secteur, je souhaite toujours travailler dans les énergies renouvelables »

Aujourd’hui, je souhaite toujours travailler dans les énergies renouvelables, malgré les difficultés que connaît le secteur. J’aimerais pouvoir créer mon entreprise et travailler à mon compte. Ce choix professionnel fait partie d’une démarche globale : même si je me considère comme un citoyen tout à fait « normal », je m’applique à respecter mes valeurs. Pour moi, il n’y a rien de très extraordinaire : résidant en Ile de France, je privilégie les transports en commun pour mes trajets domicile/lieu de travail, même si pour circuler de banlieue à banlieue, je préfère le deux-roues. Ma compagne possède une voiture, que nous utilisons très peu. Je fais du sport dans un club auquel je donne un peu de mon temps libre comme bénévole. Je ne suis pas citadin à la base, mais j’aime profiter des avantages que la région parisienne offre : expositions, concerts, sorties, je ne me prive pas vraiment. Ma vie n’a rien d’austère, bien que je m’efforce de vivre de manière responsable. Ne pas gaspiller, être un consommateur attentif et avisé, faire la différence entre besoins réels et envies… C’est une question de principes : je suis fatigué de ce marketing agressif et omniprésent qui nous infantilise et nous dicte nos modes de vie. A-t-on vraiment besoin de nous pousser à consommer des choses inutiles ? Ne sommes-nous pas assez adultes pour décider de nos besoins et de nos envies ? Que se passe-t-il si demain, nous cessons de consommer « bête » et réfléchissons avant d’acheter ?

« Plus nous serons exigeants vis-à-vis des fabricants, plus ceux-ci se verront forcés de modifier leurs pratiques »

C’est la même chose pour l’alimentation : pourquoi acheter des oignons produits en Italie ou en Espagne, puisque nous avons les mêmes qui poussent ici ? Sans être totalement « locavore », je privilégie au maximum les produits qui ne viennent pas de loin, et je suis très attaché aux produits issus de l’agriculture biologique. Je n’achète que peu de produits élaborés : je préfère passer une demi-heure à cuisiner le soir et savoir ce que j’ai dans mon assiette, plutôt que d’acheter des produits transformés avec des étiquettes obscures où je ne comprends pas très bien quels ingrédients y sont inscrits. Pour ce qui est des autres produits de consommation, je m’oriente systématiquement vers des produits qui garantissent un impact environnemental moindre, et plus ils sont issus de la filière équitable, mieux c’est. Ce n’est pas toujours évident, mais je suis convaincu que plus nous serons exigeants vis-à-vis des fabricants, plus ceux-ci se verront forcés de modifier leurs pratiques. Mon mode de vie actuel s’est mis en place progressivement. Mon arrivée en région parisienne a été un vrai bouleversement : j’ai été effaré par la saturation des réseaux de circulation, par la pollution atmosphérique, par ce bétonnage anarchique et incessant. Tout cela paraît tellement absurde, quand on vient d’une petite ville provinciale. On continue de construire des logements dans des cités-dortoirs, alors que les moyens de transports sont tous saturés. On bâtit des zones d’activités, des zones de consommations, des zones de résidences, des zones de bureaux. Quel monde de fous ! Un jour, un peu par hasard, dans mon village d’origine, j’ai assisté à la projection d’un film de Jean-Paul Jaud, Nos enfants nous accuseront. Ce film a été un électrochoc pour moi, et a été l’un des éléments déclencheurs de mon engagement quotidien aujourd’hui. Depuis ce film, je consomme bio, je suis de près les informations et les documentaires en rapport avec l’environnement. Je m’intéresse aux associations, au Réseau "Sortir du nucléaire" bien sûr, mais aussi à Greenpeace, Surfrider Foundation, Les Amis de la Terre, Kokopelli, Terre de liens… Je suis de nature curieuse, alors j’ai découvert toutes ces associations au fur et à mesure de mes recherches. Tous ces acteurs ont fait de moi le citoyen responsable, écologiste et humaniste que je crois être aujourd’hui.

« J’ai été profondément choqué par la gestion des évènements de Fukushima »

Fukushima a eu l’effet d’un révélateur pour moi. Pas seulement la catastrophe en elle-même, terrible et qui ne fait que commencer, mais la façon dont les évènements ont été « gérés » par les instances dirigeantes : la manière dont ils ont minimisé les faits, occupé tous les plateaux de télévision possibles pour défendre contre « vents et tsunamis » l’industrie du nucléaire. Leurs arguments étaient tellement navrants, dignes du comptoir du Café du Commerce : la fameuse indépendance énergétique que procure le nucléaire, son soi-disant faible coût, la supériorité technologique de l’expertise française... Pas un débat où « l’expert scientifique en nucléaire » ne soit un employé ou un retraité d’EDF, d’Areva, du CEA... Apothéose : la réaction du Ministre de l’Energie Eric Besson, qui quitte le plateau de l’émission « Capital » de M6, ulcéré par les commentaires du présentateur sur les problèmes de sécurité, lâchant au passage le désormais célèbre « Fait chier, j’me casse ! ». Ce spectacle est pour moi profondément choquant : des dirigeants sourds à tous les arguments et raisonnements, qui défendent obstinément le nucléaire. À cela s’additionnent les pages entières de publicité déversées dans la presse écrite pour faire l’éloge du nucléaire par EDF et le soutien d’Areva à la fédération Française d’athlétisme pour se donner une bonne image. Est-ce normal de pouvoir se refaire une virginité en signant un chèque, aussi conséquent soit-il ? Est-ce acceptable que la presse soit arrosée par EDF, rendant par conséquent toute critique infiniment plus périlleuse ? Je considère plus que jamais, dans ce contexte de campagne pour les élections présidentielles, qu’il est du devoir de chacun de militer, s’informer, débattre à tous les niveaux, afin que les futurs électeurs puissent entendre toutes les informations, et pas seulement le discours rôdé d’EDF, d’Areva et de leurs représentants politiques.

« Je passe mon temps à justifier mon choix professionnel »

J’ai remarqué que, depuis que j’ai décidé ma reconversion professionnelle dans le domaine des énergies renouvelables, je reçoit régulièrement des réflexions de personnes qui, sans vraiment connaître le sujet, ont des a priori négatifs sur ces énergies. Dans le meilleur des cas, mes interlocuteurs manifestent de la curiosité : on me demande si « ça marche » vraiment. Mais le plus souvent, ce sont des réactions de rejet : on va souvent jusqu’à me dire que ces sources d’énergies sont « pire » que les énergies conventionnelles, que ce n’est pas rentable, que ce n’est pas fiable, pas recyclable… Quand on me laisse l’occasion d’expliquer un peu le fonctionnement de ces énergies, ces préjugés fondent systématiquement comme neige au soleil. Vraisemblablement, les gens répètent sans trop réfléchir les bribes d’informations erronées entendues ça et là. Par exemple, ils ne savent même pas ce qu’est un panneau photovoltaïque, ni de quoi il est composé, mais « on » leur a dit que ce n’est garanti que 10 ans, et « il paraît que » ce n’est pas recyclable. C’est aussi cette désinformation ambiante, ainsi que le manque de débats sur ces sujets qui me poussent à militer. Être un citoyen engagé m’oblige à devoir me justifier souvent, et cela dans n’importe quel cadre : aussi bien à un apéritif entre copains que dans un repas de famille, ou au sein de mon club de sport. J’ai parfois l’impression étrange que certains ne sont pas loin de considérer que l’écologie, d’une manière générale, pourrait leur faire du tort, et je décèle presque de l’agressivité chez certains. Cette agressivité, je l’ai subie de plein fouet lors d’une manifestation à laquelle j’ai récemment participé. Le 8 juillet dernier, un tractage avait été organisé par le Réseau "Sortir du nucléaire" devant l’enceinte du Stade de France, pour informer les spectateurs à propos des activités d’Areva. En effet, Areva est devenu le sponsor officiel de la Fédération Française d’Athlétisme, ce qui l’autorise à donner son nom à la compétition « Meeting Areva ». Les tracts avaient simplement une visée informative : il s’agissait d’expliquer qui est Areva, quelles sont ses activités, pourquoi elle essaie de se racheter une image sur les valeurs du sport et de l’athlétisme, pourquoi elle s’attache à financer des sports « décarbonés », etc. Il est important que les citoyens et amateurs d’athlétisme sachent qui se cache derrière le généreux mécène.

« Nous avons été encerclés par des CRS, puis parqués dans un bus avec le chauffage au maximum »

Nous n’avons même pas eu le temps de commencer la distribution de tracts puisque, visiblement informés de notre venue, des CRS nous ont encerclés dès notre arrivée et empêchés d’accéder aux abords du Stade de France. Ils nous ont ainsi retenus pendant un moment, sans nous donner d’explication, puis nous ont embarqués dans un car pour un contrôle d’identité. On a été conduits au commissariat de Saint-Denis. La moitié du groupe est restée là et l’autre moitié, dont je faisais partie, a été redirigée vers celui d’Aubervilliers. Tout cela a pris environ 3 heures et a ainsi rendu impossible notre tractage. Seuls deux groupes, qui avaient pris un itinéraire différent, ont pu distribuer des documents et aborder les spectateurs du meeting. Même si c’était la première fois que je participais à ce genre d’actions, je m’attendais à ce que nous soyons un peu « chahutés ». On avait pris soin, au préalable, de se répartir en petits groupes, pour ne pas constituer un rassemblement de personnes. J’ai été stupéfait de constater le nombre de CRS présents uniquement pour nous, et effaré de constater que nous avions été parfaitement identifiés en amont (à une erreur près : une jeune femme qui se rendait au meeting sur invitation d’Areva a été embarquée avec nous…). La mise en œuvre de tels moyens m’a confirmé à quel point le gouvernement est sur la défensive sur le sujet du nucléaire, et qu’il ne lésine pas sur les moyens pour faire taire la contestation. Avant de me rendre à ce rendez-vous militant, je craignais un peu de me retrouver avec des activistes virulents qui auraient pu envenimer les rapports avec la police. En même temps, j’avais également peur que les CRS fassent du zèle. J’ai été agréablement surpris par le comportement des militants présents : même si certains tenaient à résister à l’action des CRS et à se faire entendre, il n’y a eu aucun dérapage de notre côté ; au contraire, l’ambiance était plutôt sereine, même si nous étions tous franchement écœurés par cette arrestation arbitraire. J’ai aussi tout de suite ressenti une certaine solidarité entre nous même si, pour bon nombre, nous ne nous connaissions pas avant d’arriver là. Mais je tiens également à signaler le bon comportement de la police : arrivé au commissariat, l’un d’eux a fini par nous écouter et a demandé à son supérieur que le cas de la jeune femme, qui allait au meeting et qui avait été embarquée avec nous par erreur, soit traité à part, en faisant ensuite ce commentaire : « c’est vraiment n’importe quoi ! ». Il mérite selon moi d’être cité comme exemple. Par contre, le comportement des CRS n’a pas été franchement exemplaire : ils ne nous ont pas dit pourquoi nous étions arrêtés (et pour cause, il n’y avait aucune raison valable et certains policiers n’étaient pas franchement à l’aise quand on insistait un peu pour avoir des explications). Les seuls CRS qui répondaient à nos questions prétendaient qu’ils ne savaient pas, que ce n’était pas eux qui décidaient. Tout a été fait pour nous mettre en défaut : le chauffage a été poussé au maximum dans le bus, en nous laissant plus de 20 minutes en plein soleil. Je pense qu’ils souhaitaient nous mettre à bout, nous énerver, sans doute dans l’espoir de nous pousser à faire quelque chose que l’on aurait pu ensuite qualifier d’outrage. Les policiers des deux commissariats ont tenté à plusieurs reprises de nous interdire l’usage de nos téléphones en dehors, bien sûr, de toute justification légale puisque officiellement rien ne nous était reproché. Enfin, certains CRS se sont comportés de manière affligeante : ils se sont ouvertement moqués de nous lorsque nous leur avons demandé d’éteindre le chauffage, et ils n’ont pas hésité à faire des remarques totalement déplacées, notamment sur le fait qu’il y ait des Japonais avec nous. Je croyais naïvement que les agents de police étaient soumis à un devoir de réserve, malheureusement, certains d’entre eux s’évertuent à entretenir le cliché du policier raciste, bête et méchant. Pour ceux là, la présomption d’innocence ne pèse pas lourd, surtout quand vous ne partagez pas leur idées. Lorsque vous êtes entre leurs mains, ils pensent avoir tous les droits, et je dois avouer que ça m’effraie.

« Allons chercher l’information et soyons curieux »

Je souhaiterais vraiment finir sur ce point : pour moi, l’écologie est foncièrement positive. L’écologie va dans l’intérêt du plus grand nombre, et le respect de l’environnement, est la seule voie qui, à mes yeux, ne nous mène pas à une impasse. La main-mise sur la production de l’énergie ou sur le contrôle du vivant ne sert les intérêts que d’une minorité. Nous sommes à un stade où la loi du marché n’est plus adaptée aux réalités de l’épuisement des ressources : plus une matière première est en voie d’épuisement, plus les prix augmentent. Cela accélère son exploitation et permet une débauche de moyens pour la perpétuer (on le voit avec les sables bitumineux, le gaz de schiste...). Ce fonctionnement est complètement insoutenable ! Je ne vais pas reprendre l’argumentaire complet en faveur des énergies renouvelables, mais ce n’est pas en fabricant des centrales toujours plus grosses que l’on résoudra les problèmes d’indépendance énergétique, aussi bien à l’échelle du consommateur que du pays. J’encourage tout le monde à ne pas s’arrêter à l’écran de fumée établi par la puissance économique des grosses sociétés, mais à aller chercher les informations un peu partout. Soyez curieux, ne restez pas passifs et vous pourrez voir où se trouvent les intérêts des uns et des autres. Pour ce qui est du sujet du nucléaire, je conseille vivement le site du Réseau « Sortir du nucléaire » et celui de la CRIIRAD, car il sont tous les deux extrêmement bien documentés, précis, avec des références sérieuses et vérifiables. Il n’y a pas qu’une solution pour une politique énergétique durable. J’aimerais qu’on cesse avec les clichés les plus idiots, du genre « pour remplacer le nucléaire, il faudrait une éolienne tous les 200m ». Résoudre les problèmes énergétiques en France, c’est un ensemble d’actions à mener, qui sont toutes complémentaires (voir le scénario Négawatt). Cela se fait déjà dans d’autres pays, notamment dans certaines régions d’Allemagne, alors pourquoi continuer à cotiser bien sagement chez Areva en prenant des risques énormes ? Enfin, en attendant que les lignes bougent en France, il existe tout de même une possibilité de ne plus financer intégralement le nucléaire : Enercoop (nos impôts paient toujours la recherche, la présence de l’armée Française au Niger, etc... et il faudra en payer encore pour le démantèlement des centrales, la gestion des déchets...). En résumé : informons-nous correctement et ensuite agissons. Cela permettra peut-être qu’un jour, je ne voie plus passer de train de containers avec le sigle des matières radioactives en attendant mon RER…

Xavier F., écologiste et citoyen ordinaire

Pourquoi??

En France, il est installé 5 000 Kw de photovoltaïque, alors qu'en Allemagne, il est installé 50 000 Kw...
L'un subventionne les installations, l'autre NON!
L'un persiste dans sa course vers le tout nucléaire pendant que l'autre ferme, va fermer ces centrales nucléaire au profit des énergies renouvelables, durables mais en utilisant aussi l'énergie nucléaire de la France pendant la transition...

Pour ma part, j'ai souscrit un contrat Enercoop 3 Kw et vous?

Dan

lundi 18 juillet 2011

Le sommeil pendant une randonnée

Alors comme prévu la suite

Sur des randonnées de 2 jours et une nuit, nous savons à l'avance ce que l'on aura besoin.
-Une tente 1/2 personnes.
-Un matelas.
-Un sac de couchage.
La nuit devrait être réparatrice.

Mais sur une randonnée de plusieurs jours, il faut prévoir un plan B.

Pourquoi me direz-vous?
-Le type de sol joue beaucoup!
--sable ou herbe.
--galet petit, moyen, gros.
--sol dur, pierre coupante.

Nous, nos plan B, sont une bâche de peintre et un hamac avec moustiquaire.
Première nuit...
Nous avons monté notre tente en retrait de la grève pour nous protégé du soleil.
 
Le deuxième bivouac...Que c'est dure de marcher sur ces petits galets qui roulent sous nos pas.
Nous avons utilisé la bâche pour nous protégé de la rosée.
Quelques pierres pour la tenir en haut et des tronc trouvé sur place pour décollé la bâche de la parois.
Pendant la nuit, mon équipière a été piqué par un insecte.

le troisième nuit, nous avons dormis dans la grotte sur un lit de sable.
Quel confort! Nous nous sommes protégé avec notre moustiquaire.
Vous remarquerez les kayaks au mouillage.

Nous avons dormis sur la terrasse d'une maison construite sans permis de construire.
Mais aussi sur une grève où nous avons amélioré notre confort avec un matelas de polystyrène.

Un bivouac que comme celui là... La cabane a été construite par des vacanciers venant de Cracovie.
Ils nous ont baptisé," Les Viking Breton". Des gens charmant, ils nous fait découvrir la ville de Losinj.
Le hamac est installé entre deux branches de ce pin.
La vue au petit matin de l'intérieur du hamac. La nuit des brebis venaient nous rendre visite, ainsi que des moustiques et autres bestioles.

Le hamac, qu'elle confort.
Lisez cette article pour savoir installer votre hamac.

samedi 16 juillet 2011

Non à ITER

Pourquoi dire non au projet ITER ?
La fusion nucléaire est un processus où deux noyaux atomiques s’assemblent pour former un noyau plus lourd. Cette réaction est à l’œuvre de manière naturelle dans le Soleil. Elle est, avec la fission, l’un des deux principaux types de réactions nucléaires appliquées. Un de ses intérêts annoncé est de pouvoir produire théoriquement 3 fois plus d’énergie que la fission à masse de combustible égale. En dépit des travaux de recherche réalisés dans le monde entier depuis les années 1950, aucune application industrielle de la fusion à la production d’énergie n’a encore abouti, en dehors du domaine militaire avec la bombe H ou se mélange fission et fusion. Enfin, contrairement à la fission nucléaire, les produits de la fusion eux-mêmes ne sont pas radioactifs, mais lorsque la réaction utilisée émet des neutrons rapides, ces derniers peuvent transformer les noyaux qui les capturent en isotopes pouvant l’être.
Pour poursuivre la construction du réacteur expérimental de fusion thermonucléaire ITER du côté d'Aix-en-Provence, la Commission européenne doit trouver 1,3 milliard d’euros d’ici à octobre 2011. Le coût du chantier a explosé passant de 2,7 milliards d'euros en 2001 à 7,2 milliards d’euros aujourd'hui... L’Europe, donc vous et moi, participant à hauteur de 45% au budget, doit débourser cette année 1,3 milliard d’euros supplémentaires. L’agence européenne qui gère le projet, Fusion for Energy (F4E) a dû licencier des gens incompétents à tous les niveaux et revoir son organisation de fond en comble selon Robert-Jan Smits, directeur général de la recherche et de l’innovation de la Commission européenne. Avec ce budget global, on espère un jour pouvoir générer 500 mégawatts pendant au moins 400 secondes pour 50 mégawatts injectés. Et dire, que l'on pourrait aussi produire l'équivalent avec 250 éoliennes pour 250 millions d'euros... mais les éoliennes pourrait fonctionner pendant des dizaines d'années... de même avec des panneaux solaires photovoltaïques.
Mais où trouver ce budget complémentaire afin de construire ce laboratoire (situé sur une faille sismique présentant des possibilités de magnitude de 6,9) ? 460 millions d’euros pourraient être piochés dans le budget du 7e programme-cadre de recherche et développement, 650 millions dans celui de la politique agricole commune et 190 millions dans les affaires administratives du Parlement. Le Japon, qui lui contribue pour 9 % au programme, pourra-t-il respecter ses engagements après la catastrophe de Fukushima ? Le physicien Sébastien Balibar, membre de l’Académie des sciences et directeur de recherche au laboratoire de physique statistique de l’Ecole normale supérieure affirme que : "l’engagement demandé à la France, principal contributeur en tant que pays hôte, représentera plus que l’ensemble des crédits dont disposent tous les laboratoires de physique et de biologie pendant vingt ans ! Iter condamne de nombreuses recherches autrement plus importantes que la fusion, y compris pour l’avenir énergétique de la planète."
De plus, comment garantir l'innocuité des 2 kilos de tritium nécessaires au projet ? Le tritium est un produit dont on sait que la dose mortelle n’est que de 1 milligramme. Qui peut garantir que ce radioélément sera parfaitement confiné ? Personne ne sait aujourd’hui comment gérer ce futur déchet.
C'est pourquoi, c'est le moment de dire non au projet ITER couteux et polluant en signant la pétition en ligne et en envoyant une lettre au président de la commission d’enquête du projet.


Lire l'article complet : http://www.ecologie-pratique.org/article.php/Dire-non-au-projet-ITER

 Titre : Dire non au projet ITER
Auteur: Pascal B.
Date: 15 jui 2011 - 12:30

Autre article sur ITER

mardi 28 juin 2011

La vie sur Kayak Marin reprend....

Bonjour,

Depuis quelques mois "kayak marin" est en repos, faute de navigations nouvelles.
Ce n'est plus le cas! Ah!!!

Où sont-ils allé ces deux là?

Randonnée au long court, autres plans d'eau, autres matériels?
Tout cela en même temps.

Nous sommes parti naviguer dans l'Adriatique Nord.
Au pays des falaises et plages blanches...

A bientôt pour la suite de nos aventures marines.

PS:pour patienter, regarder la rénovation de notre maison de 1930

mardi 7 juin 2011

Le tram de Brest...

Pour certain le tram est un moyen de transport écologique!!! Si, si....
Il roule avec un propulsion électrique...
Vous avez déjà vu un tram avec des panneaux solaires. Moi non! et vous?
En France, l'électricité est a plus 70% nucléaire... Cela n'augmente pas l'effet de serre, si c'est  vrai!
Donc c'est bien un tram nucléaire... Mais! Il y a un Mais!!

A Brest, nous sommes en bout de ligne de la centrale nucléaire de Loire et atlantique....
Pour sécuriser l’approvisionnement en électricité, il faut une autre source...
Les éoliennes? non, le tram roulerait que les jours de vent fort et régulier. Zut.
les centrales gaz de Brénilis, Dirinon, Ploufragan(en projet)...pas suffisant!

Quand avait dit qu'il faudrait une centrale gaz dans le paquet cadeau du tram. Beaucoup rigolaient a gorge déployée... C'est les même qui maintenant s'opposent à la construction leur centrale à gaz.

Alors qu'il aurait un moyen simple de résoudre le dilemme.
Aidé financièrement les maraichers désireux d'installer un cogénérateur dans leurs exploitations.
Déjà fait chez quelques maraichers Brestois.

Dan

dimanche 15 mai 2011

Sortons du Nucléaire.

Mobilisons-nous contre le nucléaire et ses déchets dangereux

A l'occasion du transport le plus radioactif du monde, les vendredi 5 et samedi 6 novembre 2010, le Réseau "Sortir du nucléaire" appelle à des rassemblements et à des actions de sensibilisation dans un maximum de gares SNCF de France pour dénoncer les transports nucléaires qui sillonnent les routes et les voies de chemin de fer.


Ensemble, faisons la lumière sur l'impasse nucléaire.


Dans le cadre de l'appel ci-dessous avec Greenpeace, des mobilisations seront organisées le long du trajet du transport (Manche, Calvados, Eure, Seine Maritime, Somme, Pas de Calais, Nord, Aisne , Ardennes, Meuse, Moselle, Meurthe et Moselle, Bas Rhin) et tout particulièrement dans les villes de Caen, Rouen, Amiens, Arras, Nancy, Strasbourg.
Pour connaître les horaires de passage du convoi, en savoir plus sur ce transport et agir à nos côtés partout en France :
http://groupes.sortirdunucleaire.org/blogs/train-d-enfer-transport-la-hague/
Pour agir près de chez vous, nous mettons du matériel à votre disposition (banderole, affiche, tract, tee-shirts…).
Merci pour votre action à nos côtés.
Contact :
Laura Hameaux
Coordination Nationale des groupes et actions
Réseau Sortir du nucléaire
Mobile: +33 (0)685230511
Tel: +33 (0)320179491
Mail: laura.hameaux@sortirdunucleaire.fr

Tchernobyl, Fukushima. Plus jamais ça!!!

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Signez la pétition urgente
Signez aujourd’hui la pétition urgente pour refuser que les enfants japonais puissent être légalement exposés à des doses élevées de radioactivité !
Merci de diffuser cet appel le plus largement possible.
En France comme en Allemagne, 20 mSv/an est le seuil maximal d’irradiation recommandé pour les travailleurs du nucléaire. Au Japon, la loi sur les normes du travail interdit aux personnes de moins de 18 ans de travailler dans ces conditions. De plus, les nourrissons et les enfants sont plus vulnérables aux radiations que les adultes.
Or, le 19 avril 2011, le gouvernement japonais a décidé de relever de 1 mSv/an à 20 mSv/an la norme de radioprotection pour les écoles de la préfecture de Fukushima, où plusieurs réacteurs nucléaires sont en perdition depuis le 11 mars et relâchent de grandes quantités de radioactivité dans l’environnement.
Permettre que des enfants soient exposés à de telles doses de rayonnements, très dangereuses pour leur santé, est révoltant et inhumain. Nous condamnons fermement cette décision intolérable et en demandons instamment l’annulation immédiate.
Signez la pétition dès maintenant !
Nous vous remercions chaleureusement pour votre engagement à nos côtés.
L’équipe du Réseau "Sortir du nucléaire"
Réseau "Sortir du nucléaire"
http://www.sortirdunucleaire.org
Tél : 04 78 28 29 22
                                      contact@sortirdunucleaire.fr

lundi 18 avril 2011

Ecolonomique

Que veux dire ce mots

c'est la contraction de deux mots à la mode en ce moment.

Écologique: tout ce qui a attrait au développement durable.

Économique: économiquement réaliste.

Écolonomique: Ou comment dépenser intelligemment notre argent si durement gagner en respectant durablement l'écosystème de notre planète mais sans mettre nos finances en péril.

jeudi 24 juin 2010

Les 24 Heures du Golfe



La Société des Régates de Vannes et Golfe Clair présentent :
Les 24 Heures du Golfe

« Naviguer dans le Golfe du Morbihan la nuit ? Mais c’est dangereux ! Et puis c’est interdit ! » C’est ce que beaucoup de gens croient… Il s’agit en fait d’une légende ! Pour tous les amoureux du Golfe qu’une navigation de nuit en course fait rêver, les 24 heures du Golfe sont une occasion à ne pas rater !
Vent, soleil, lune, marée, électricité, huile de coude : il va falloir composer avec ces éléments. Car, à l’occasion de ces premières 24 Heures du Golfe organisées par la SRV (Société des Régates de Vannes) en partenariat avec Golfe Clair, et pour la première fois, des voiliers navigueront en régate contre des bateaux à moteur électrique. Avec trois catégories d’embarcations ne fonctionnant qu’avec des énergies non fossiles, cette première édition s’annonce aussi comme un banc d’essai pour les moyens de transports maritimes de demain.
Une course de relais, en équipage… illimité
Si l’équipage des bateaux doit obligatoirement compter au moins trois personnes, le nombre d’équipiers durant les 24 heures est illimité, sous réserve qu’ils soient licenciés FFV (licence temporaire en vente sur place). Une occasion de faire naviguer copains, familles, enfants…

Une fête ouverte à tous
L’épreuve se déroulera devant les côtes Arradonnaises, et le port ne s’endormira pas cette nuit-là ! Le public sera invité à naviguer à bord d’un catamaran de 26 pieds de la Cataschool (école de voile de Larmor Baden) et suivre une partie de la course au crépuscule, sous le clair de lune, ou encore à l’aube.
Ces tours de circuit proposés gratuitement à un large public pourront aussi s’effectuer à bord d’un trimaran électrique, à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit…!
L’accueil du public se fera autour de la tente Golfe Clair devant le bureau du port d’Arradon (possibilité de parking de remorque). Les repas des équipiers (inclus dans les frais d’inscription) seront servis à l’Abri Côtier, qui restera ouvert toute la nuit pour l’occasion.
Une tente de repos à terre sera à la disposition des coureurs

Sont admises à courir les trois catégories suivantes :
               -Dériveurs traditionnels de moins de 6,20 m
               -Croiseurs côtiers de moins de 6,20 m
               -Bateaux électriques tous types


Programme
 Samedi 3 juillet 2011

16h : ligne de départ entre la plage d’Arradon et l’île Logoden ; Animations et restauration sur le port.
 
Dimanche 4 juillet
16h : arrivée et remise des prix à l’Abri Côtier. Classement scratch et par catégorie.
La fiche d'inscription est en ligne sur les sites de la SRV ou de Golfe Clair (golfeclair.com ou srv.srvannes.fr).
Inscription : un tarif sympa de 24 euros par embarcation pour 24 heures de course !
Un moteur électrique au gagnant… du tirage au sort ! (effectué parmi les concurrents ayant effectué les 24 Heures) et de nombreux autres lots.


Renseignements : 06.18.43.76.56

lundi 31 mai 2010

Recycler du matériel en fin de vie

Votre vareuse yak modèle karoo vous convient mais il y a un petit anomalie!!!

Pas de capuche pour protéger votre tête des intempéries...
Pourquoi ne pas recycler une vieille capuche.

Du velcro est cousue sur le bord inférieur et interne de la capuche.
Qui elle a été récupérée elle sur un vieux blouson classique , type blouson hiver imperméable.

Nous sommes près à faire l'assemblage...

Et voila le résultat.
Vraiment bien utile à l'usage.

Sur une idée d'un kayakiste qui veut resté anonyme...

Dan

lundi 17 mai 2010

Bois Bas Golfe du Morbihan(56)

Toujours à la recherche:
d'un point de départ original pour une sortie
, une randonnée?...

Il y a....

Bois Bas, C'est dans le Golfe du Morbihan(56)

Comment vous rendre à Bois Bas:

Le lieu est signalé par un petit icône pour plus lisibilité.

Lorsque vous venez Lorient/Auray.

1) Sortez à la première bretelle Vannes(zone commerciale).
2) vous suivez Arradon.
3) puis Moustoir(D316).
4) Enfin Bois Bas...

Lorsque vous venez du Sud(Nantes)

5) Sortez à la dernière bretelle juste à coté d'une enseigne de restauration rapide.
6) suivez les indications plus haut...

7) A partir de l'embranchement, suivez les pancartes "Kayak".

Si vous arrivez suffisamment tôt, le parking pourra accueillir votre véhicule, si non!
Vous avez une alternative "Penboch".

Voici de précieuses informations pour préparer votre sortie:
Les horaires des marées
La météo prévu


Photo du retour d'un tour complet du Golfe avec une nuits en mer...
Quel pieds!!!

Mais pour aller où:

Vous avez que l'embarras du choix:
Un tour du Golfe par l'Est, par l'Ouest?
Il y a tellement de possibilité que le choix est trop vaste...
Nous y allons aussi souvent que possible et c'est toujours avec un plaisir renouvelé...
Avec ou sans Bivouac! That a question?

Bonne Nav
Daniel

samedi 15 mai 2010

Recycler du matériel en fin de vie

Notre société de consommation nous fait produire de plus en plus de déchets...

Mais pourquoi ne pas les transformer, utiliser pour à un autre usage!
Les recyclés!!!!

- Voici quelques recyclage possible des emballages internes des œufs en chocolat après Pâques.
- j'utilise la boite mauve(lessive) pour y ranger mon réchaud, les allumettes et les assaisonnements.
- La boite transparente me sert pour l'argent, les papiers, mini pharmacie...

Il y a surement d'autres usage avec d'autres type de déchet...
Les flotteurs de filets peuvent servir pour votre bout de remorquage par exemple.
Etc....

jeudi 13 mai 2010

Recycler du matériel en fin de vie

Nous avons tous du matériel en fin de vie, voir hors d'usage...

C'est le cas de cette tente dôme...

- je me suis dit que je pouvais lui donner une deuxième vie!

Mais en quoi la transformer?

- J'ai fait deux bouchons d'hiloire, d'on un pour le donateur de la tente.
- En sac de différentes dimensions et usages!
- En voile tapecul.
- Le sol en bâche me sert de protection que je mets sous notre tente, de nappe pour le casse-croute et d'abri de fortune en cas de pluie.
- Etc

Alors voici la voile:

- J'ai découpé un coté de la toile de tente. Ce qui me donne un trapèze de près d'un mètre carré.

Face externe en bleu et la face interne aluminée.
- l'astuce c'est de garder l'ourlet d'un des arceaux de fibre de verre pour y glisser le mâts.

- Le mâts est réalisé avec une canne à pèche télescopique en fibre de verre(4€).
- La bôme c'est une flèche réformée en carbone qui elle aussi va dans un ourlet, idem pour la livarde.
- j'ai renforcé le mâts par une ligature fibre résiné au niveau du vide-mulet.
Et voila un voile prête à l'emploi ou presque!
Je l'ai donné au donateur de la toile.
Il reste à faire le puits de pied de mâts sur le kayak et le système d'écoute.