Après avoir navigué a plusieurs reprises en kayak et en canoë...
Je me suis mis en quête d'un kayak a un prix raisonnable. En dessous de 900 euros, vous n'aviez , en 2003, que des Sit On Top. Pour un ponté, il fallait mettre beaucoup plus...
Après avoir construit des Optimistes en fibre de verre, pour une école de voile, lors d'un stage perfectionnement de construction navale(hiver 1978).
La vie professionnel m'a fait dévier de cette route, si je puis dire(routier régional)
Plus tard, J'ai construits des voiliers radio commandé de la class 1 mètres. ils prennent moins de place dans un appartement. Un weekend, sur le lac de Saint Renan, était organisé des régates de class Marblehead.
Ce jour là, j'ai rencontré le président de la section voile modèle de la SRB. Il m'a proposé de venir faire des entrainements, le dimanche sur le lac de ty-colo, à Saint Renan... Du coup, j'ai construit mon premier Class M en latte de cèdre de 1300x10x2.
Très vite, je suis passé au moulage de la coque en carbon/kevlar et fabrication des appendices en balsa/carbon. Mon classement a progressé jusqu'à la place de 46ème national, sur 450 bateaux et 3ème/40 régionaux, puis qualification au championnat de France.
Les pièces du puzzle sont en place...
J'ai cherché, en consultant plus de 200 sites, des plans, des processus de construction de kayak de mer.
J'ai exploré les différentes méthodes.
-La technique du moule perdu pour avoir un kayak en fibre de verre, est très longue...
-Le moulage est une bonne méthode mais il faut avoir au minimum un moule, où une matrice pour en faire un moule. Cela devient rentable, si vous construisez plusieurs kayaks au sein d'un club par exemple...
-Il y a une méthode plus ancienne et qui a fait ces preuves "le joint cousu" par de petit clou en laiton écrasé par un marteau sur un tas. Très utilisé pour l'assemblage des clins sur les petites unités. Quelques plates ont été construire avec cette méthode, au port rhu, pendant Douarnenez 96. Amélioré au milieu du XXème siècle, avec la arrivé du congé de résine chargé, le cousu & collé où pour les anglophones "stitch and glue"...
C'est la méthode que j'ai choisi pour construire mon premier kayak.
Le plan que j'ai choisi, c'est celui du Night Héron de Nick Schade of Guillemot-Kayaks. J'ai augmenté sa longueur et un peu sa largeur pour en faire un K2...
J'ai suivi le processus de J. Coppens.
Conclusion
J'ai fait une erreur en achetant du contreplaqué de 6mm en qualité marine que j'ai heureusement amincis a 3mm...La fibre résiné adhère mal sur le ctp marine.
Depuis, j'en est construit d'autres mais beaucoup plus léger avec du ctp extérieur de 4mm...
4 commentaires:
Bonjour,
merci pour cet article.
Je cherche à faire également un k2 stitch & glue, et votre conclusion me surprend... Il vaut mieux prendre du contreplaqué extérieur (de moindre qualité, il me semble)?
C'est contraire à ce que j'ai lu par ailleurs, notamment sur le site de chesapeake lightcrafts... cela dit, ça m'intéresse, cela doit faire baisser significativement le coût global. Auriez-vous des fournisseurs, ou des spécifications techniques sur le sujet du contreplaqué à utiliser ?
Merci d'avance, Cordialement
Peer Lipo
bonjour,
Si tu regarde les autres articles sur "construire un kayak", tu verras que le cpt extérieur de 4mm est suffisant puisque rendu imputrescible par la résine epoxy.
Fournisseur point P mais vérifie l'épaisseur a l'achat, très variable suivant les arrivage.
dab
+ 1 pour Point P
mais il y est difficile de trouver des plaques de CTP 4mm pas trop abîmées et/ou gondolées.
fô demander à les choisir dans le lot.
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